Les joies du métier m’ont amené à traverser le pont de la grande métropole montréalaise afin de découvrir une banlieue Lavalloise, la banlieue mal aimée… Je le concède, mes attentes n’étaient pas très élevées face au lancement d’une deuxième phase d’un projet de condominiums à Laval… Mal m’en pris, c’est dans un accueil grandiose que j’ai découvert le projet La Marquise, un projet luxueux et d’une grande envergure, situé au cœur d’une banlieue électrisée.
Après mon délicat passage sur le tapis rouge, verre de champagne à la main, j’ai eu la chance de discuter avec le directeur des ventes du projet. La vente de condos neufs à Laval va encore, selon lui, bien. Les gens cherchent de grands espaces et la paix d’esprit. La première phase du projet est maintenant vendue à plus de 90% et les unités sont prêtes à habiter. Les résidents de la phase 1 profitent d’une grande terrasse aménagée ainsi que d’une piscine intérieure. Au final, le projet La Marquise comportera 8 bâtiments entourés d’un parc et jardins aménagés, un développement d’envergure. Mais qu’en est-il de la phase 2?
La construction de l’immeuble de 12 étages de la phase 2 débutera cet été afin de livrer les unités en septembre 2016. La phase 2 se caractérise principalement par ses grandes unités variant entre 800 et 3 000 pieds carrés et ses vastes balcons offrant une vue imprenable sur Laval et même sur Montréal. À l’image des projets de grande envergure, une terrasse commune avec possiblement (option encore à l’étude) une piscine couverte, afin de barboter à toutes les saisons, agrémenteront le toit. Le coût d’un condominium est d’environ 285$ le pied carré et chaque unité comprend un espace de stationnement intérieur.
Suite à plus d’une heure d’attente dans un ambiance musicale et festive, l’heure de couper le ruban sonna! Tous, promoteurs et convives, étaient fébriles à l’idée de découvrir l’unité modèle. Je confesse, j’ai eu droit d’accéder à l’unité en priorité et je fus plus qu’étonnée. Le soleil irradiait les pièces si spacieuse et chaleureuse, confrontée à l’effet du champagne et de la fin de journée, l’appel de la détente était au point culminant… malgré la sempiternelle réticence banlieue versus Montréal, je dois me confesser: J’ai été séduite et charmée par la grande fenestration ainsi que les plafonds variant entre 9 et 11 pieds, l’unité ne manquait pas de cachet et les espaces grandioses respiraient l’oxygène. Je ne compte pas quitter le tumulte de la grande ville, mais j’apprécie la richesse des projets où l’espace n’est pas une contrainte, où l’humain se réapproprie l’air…
_Mercedes Coutu